Hell's Bells
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Shylah

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Shylah
Nécroman

Shylah


Messages : 479
Date d'inscription : 24/04/2011
Pouvoirs : Vision du destin
Maladie terrestre : Aveulge
Shylah  Pk110


Dans le monde de Londres
Âge: 500 ans
Métiers: : ///
Disponibilité Rp: : 01//02

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MessageSujet: Shylah Shylah  EmptyDim 24 Avr - 4:48


1 - Mise en bouche
Identité
Nom et Prénoms:Shylah
Âge:500 ans
Sexualité:Bisexuelle

IAngélique
Place hiérarchique: Assistante de la sagesse
Don: Sagesse
PouvoirsLe destin: il n'y a qu'un seul ange du destin, un seul qui puisse voir l'avenir, le passé ou le présent. Il me suffit de fermer les yeux un instant et je sais, de toucher quelque chose et je sais, son passé, son présent et son avenir. Un don qui peut devenir vite épuisant si on ne le contrôle pas. Mais j'ai appris à le faire avec les siècles et les années. Aujourd'hui, avec mon retour sur terre, il m'aide énormément. C'est grâce à lui que je puis me diriger dans ce monde, en voyant les choses grâce à lui. Étrange non? Mais avec le Smog qui s'abat sur la ville, les visions ne peuvent plus aller très loin dans le temps, je dirais même qu'au contraire, qu'au plus le brouillard va s'épaissir, au plus je ne verrais plus rien.
Maladie terrestre Aveugle

2- Le personnaget
Caractère :Le passé, le présent ou le futur. Quand on voit ses choses là, quand on les voit à chaque instant de sa propre vie, on sait trop de chose, beaucoup trop de chose. On sait pourquoi un homme a tué, pourquoi un autre a volé et on sait aussi ce qui a déclenché ce geste. Alors on ne peut pas juger les autres, on ne peut pas leur en vouloir, ni les rendre coupable. Je sais ce qui est bien ou mal, oui, je le sais. Mais ne me demandez pas de juger, d’accuser ou de condamner. Je ne peux pas. Je sais par exemple pourquoi Zenon est devenu un damné et pourtant je ne le juge pas, je le comprends. Je comprends même Lucifer. Bien sûr, j’étais comme cela humaine, un peu. Quand je suis devenue un ange, j’ai été troublé et sans Thali je n’aurais pas compris tout ce que j’ai compris aujourd’hui.
Je crois en l’homme, je crois qu’il est au dessus de tout, je crois en l’humanité, je sais qu’elle ne peut pas être parfaite, je sais qu’elle ne peut pas être que mauvaise, je sais que l’homme est par sa propre nature quelqu’un de particulier, différent des autres, chacun est unique et cette œuvre, que je sais divine désormais, est magnifique avec ses qualités et ses défauts.
C’est bien parce que l’homme n’est pas parfait que je crois en lui. Je crois qu’il peut faire bien des choses et c’est pour cela, qu’il existe. Il est soumis à des forces qu’il ne connait pas, il peut croire ou non à ses forces, mais on ne peut pas le juger. Il est libre de ses choix, de ses actes et de sa propre vie, le libre arbitre, quelque chose que les anges ne possèdent pas mais qu’ils comprennent. Comme je comprends pourquoi certains finissent en enfer et d’autres non. Je voudrais dire que je suis contre cette fin, mais ce serait faux, si je crois en l’homme, si je crois en ses valeurs, je crois aussi qu’il fait ses propres choix et qu’il doit en accepter les conséquences. Parce que c’est cela qui peut être merveilleux, voir un homme faire son choix, essayer de l’aider, de lui montrer la route et d’accepter qu’il ne soit pas aussi bon qu’on l’aurait désiré. Je ne suis pas devenue un ange par hasard, Thali m’a choisie pour cette raison, et je l’en remercie.
Je suis quelqu’un de tolérant, je n’impose pas ma vision des choses aux autres, j’accepte tout, tant que l’on respecte ce en quoi je crois. On peut débattre, je peux changer de vision mais l’on ne peut pas m’imposer. Je déteste ceux qui imposent, ceux qui veulent à tout prix avoir raison. Comme ses personnes qui m’ont tué. Je ne leur en veux pas, je sais juste que je ne peux pas accepter que l’on veuille m’écraser. L’orgueil et le mépris ce sont des sentiments néfastes, trop néfaste pour moi. Je ne les supporte pas.
Cela ne m’empêche pas d’être désintéressée, altruiste, en croyant aux humains, je veux leur bien, comme je veux le bien de Zenon encore. Si je ne peux me dresser contre ses rouages divins et infernaux, je peux tout de même, essayer encore de faire changer les choses. J’en ai discuté avec Thali et j’espère que ce que nous avons prévu le rendra heureux. Je ne serais pas à ses côtés, je ne reviens pas sur terre dans ce but, je suis son ange gardien et je ne peux pas lui demander de se souvenir du nous passé. Il a changé, il est damné, il côtoie une autre femme. Il faut savoir se satisfaire du passé, des souvenirs, du temps que l’on a vécut ensemble et en sourire. Mais on ne peut pas forcer le présent, demandé à revenir et reprendre comme avant. Je suis son passé, je suis un instant de sa vie….
Physique :
    Physique Humain:1m65, des yeux bleus, une chevelure blonde mi longue. Que vous dire de plus ? Je suis une femme avec ses courbes et ses formes. Toujours pieds nus, habillée de longue robe de voile, j’ai gardé cet esprit de nature qui ne m’a jamais quitté. Mon attitude peut paraître nonchalante et bien trop sûre de moi pour un ange, qui sur terre, est aveugle. Mais je vois d’une autre manière, grâce à mon don, je vous l’expliquerais plus tard. Pour l’instant, laissez-moi me présenter.
    Je ne suis pas grande, mon corps est mince, enveloppé de quelques courbes voluptueuses. Gracile, parfois sauvage, il va et vient dans cette vie avec légèreté. Mes yeux restent bleu, d’un bleu vif et ardent mais il y a un voilé léger que l’on peut observer sur leurs pupille, mais pour cela il faut observer mes yeux avec grande attention. Vous me pardonnerez si mon regard ne se fixe pas sur vous, aux cieux, je vois, mais sur terre, je me guide avec d’autres sens, l’ouïe, le toucher et mon don.
    Peut être dois-je vous parler de mes ailes ? Non Cela fait partit de mon être désormais. A l’image de Thali, mes ailes sont grises, un jour, Gabrielle m’a dit que nous n’étions pas assez pure, voilà pourquoi nos plumes ont cette couleur mais Thali à l’oreille m’a expliqué, qu’en vérité, la couleur de ses ailes étaient la plus rare, les anges qui peuvent comprendre le mal sont rares. Je ne sais pas si je crois en cette explication mais la vérité est que mes ailes sont de cette couleur. Sur terre, je peux les dissimuler comme tous les anges.
    Physique angélique: Forme angélique: Sur ma peau, sur chaque parcelle se trace un dessin de couleur immaculée, irradiant, volutes d'arabesques qui parcourent ma peau, remontant jusqu'à la commissure de mes yeux, mon regard qui n'est plus que blancheur immaculée. Ma tenue de cérémonie est concue pour laisser mes ailes se déployer, ailes e plumes grises. [/i]


3 - Biographie :
Une enfant de la nature. Savez-vous ce que c’est ? C’est une sorcière pour l’époque où je suis née. Une fille du diable, qui danse nue sous la lune. C’est marrant, la nature pourtant c’est Dieu qui l’a crée et disons le, c’est lui qui l’a faite avec ses dons et ses défauts. Les antidotes, les plantes qui calment, tout cela, c’est Dieu qui l’a donné à l’homme et l’homme a toujours cru que ce genre de chose était les pratiques du démon. Pourtant dès ma plus tendre enfance j’ai appris. J’ai appris ce savoir, ce genre de chose, j’ai aimé ses connaissances, même si cela a causé ma perte…

Je naquis il y a un peu plus de cinq cent ans dans les contrées anglaises. Là où la nature était maitresse, entourant les villages, permettant de vivre loin de la civilisation et des hommes. Ma mère est morte en couche alors que mon père essayait de survivre. C’était une époque difficile pour les humains, les choses n’étaient pas faciles et quand il me vit dans les bras de sa mère, ma grand-mère, quant il vit le corps gisant de sa femme, il tomba malade. Vous savez, pas ce genre de maladie qui se soigne avec quelques remèdes, c’était le cœur qui avait été touché et pour ce genre de chose, il n’y a guère de solution.
Ma grand-mère essaya de lui faire réaliser qu’il devait s’occuper de moi, qu’il devait se battre et panser la plaie de son cœur grâce à moi mais…il ne réussit pas. L’hiver suivant, il fut retrouvé mort dans son lit, un homme qui se laisse mourir, ne peut pas survivre longtemps. Et mon père avait perdu tout espoir en son cœur. Vous savez, il était le fils d’une femme qu’on appelait sorcière, la femme qui l’avait aimé, avait dépassé cela, la seule qui l’avait accepté, voyant au-delà des racontars, aimant véritablement l’homme avant de juger qu’il était le fils de…
On ne peut pas vivre toute une vie sans cette personne qui voit au-delà de ce genre de chose, mon père avait trop subit, trop espéré de cette union pour croire qu’il pourrait survivre à cette mort.

Je fus élevée par ma grand-mère, celle qui m’apprit dès mon plus jeune âge à respecter la nature. Si la terre ne donne pas les récoltes espérées c’est qu’elle n’en avait pas la force. Si la terre n’est pas bien traitée, elle ne peut rien offrir. Et j’appris son respect avant même de savoir marcher. Ma grand-mère m’apprit les fleurs, les plantes, les racines, toute petite, l’été, elle m’emmenait en forêt et me montrer tout. Chaque plante avait un savoir, chaque arbre une connaissance et je grandis en apprenant ses choses.
Nous vivions dans un village où les hommes, les femmes, les enfants avaient l’esprit étroit. On ne côtoyait pas ma grand-mère, on venait la voir quand cela n’allait pas. Un remède pour une maladie, un merci et on ne lui parlait plus. A l’époque pourtant si on la traitait de sorcière dans son dos, on ne tentait pas de la faire disparaitre. Elle était utile et nécessaire. Certains l’ont respecté, mais moi, j’étais encore une enfant. Et vous savez, les autres enfants sont cruels avec quelqu’un de différent.
Souvent, très souvent, j’étais seule, solitaire, un peu sauvage marchant pied nus aux beaux jours. Mais incapable de me mêler aux autres enfants. Ce n’était pas moi qui refusais leur présence, c’était eux. Combien de fois m’ont-ils raillée, insultée, malmenée, en me traitant de sorcière ? Se moquant que j’étais orpheline et tant de chose…
Au début, je revenais en larme auprès de ma grand-mère. Je pleurais dans ses bras, ne comprenant pas. Et là alors, elle m’expliquait, elle me disait que ce n’était pas leurs fautes, que les hommes, les femmes et les enfants ont peur de ce qu’ils ne comprennent pas. Qu’ils ont besoin de nous, qu’ils savent peut être au fond d’eux que nous ne sommes pas si diabolique que cela mais qu’ils ne peuvent pas l’accepter. A cause de leur religion, de leur conviction et que sur le chemin d’une vie, il faut accepter les autres et comprendre toujours pourquoi un cœur peut être si méchant. A mesure du temps j’ai compris. J’ai accepté et j’ai cru en l’homme comme ma grand-mère y croyait.

Si a 16 ans je suis devenue une guérisseuse plus qu’une sorcière, comme ma grand-mère, que l’on me respecté, il y avait certains garçons qui ne voyaient en moi que la future femme. C’était déplaisant, sauvage je ne me laissais pas approcher, on me disait succube et cela m’effrayait. Mais peu à peu, les médisances cessèrent, les villageois comprirent qu’à la différence de Kennoc’ha, ma grand-mère, j’étais trop proche de la nature pour être apprivoisée. Étrangement, on respecta cela, mais je crois que ma grand-mère y fut pour quelque chose. Si on la craignait, on la savait sage et parfois certains l’écoutaient, peut être avait elle plaidé pour moi et les autres s’étaient calmés. Je ne sais pas, je ne peux pas l’expliquer. Je crois en vérité, qu’il y a eut un ange à ce moment là de ma vie, Thali un jour, s’est presque vendue et je crois que c’est elle, je ne sais comment, qui a calmé le jeu quelque temps.

A vingt ans Kenno’cha est morte. Sa perte fut un choc et même si certains villageois ont tenté de m’aider, je suis partie vivre à l’écart du village, un ermite, dans la nature, une sorcière qui ne descend que pour sauver ceux qui en ont besoin. Comme ma grand-mère auparavant on échangeait quelque chose pour une guérison, on me laissait vivre, on me voyait comme nécessaire et personne ne cherchait à savoir quoi que ce soit. Je crois que malgré leurs réticences, ils avaient finis par accepter, ses temps là étaient durs après tout.
Je vécus seule, durant des années, et je me souviens l’avoir rencontré vers les midis, un jour d’été. Descendant au village pour une insolation, sur ma route, j’avais vu des chevaliers. Pour une fois, je m’étais rapprochée, me demandant s’ils s’en allaient se battre, mais ne posant aucune question. J’offris de l’eau à l’un d’eux et un sourire, énigmatique comme toujours j’avais ensuite repris ma route. Gravant en mon esprit ce visage, celui d’un homme de quinze ans de plus que moi mais au regard captivant. Parfois, on ne sait pas pourquoi on fait quelque chose, ce jours là, j’avais compris que je ne saurais que plus tard, pourquoi lui et pourquoi ce geste. S

Dans ma grotte, j’étais toujours seule, ne demandant jamais rien à personne, confort simple, rustique, mais cela me satisfaisait. J’étais ainsi, sauvage, solitaire, peu enclin à la civilisation. La nature, c’était tout ce que j’avais et d’elle je savais beaucoup de chose, elle ne pouvait pas me faire du mal. Et l’homme, bien que particulier, me paraissait être une espèce des plus importantes.
Je vivais ainsi, et c’était Lui qui avait un bref instant, rompu ce quotidien. Plus encore lorsqu’il est revenu. C’était un matin, l’aube pointait à peine, je suis sortie de ma grotte et je l’ai vu. Il ne s’était pas approché, peut être qu’on lui avait parlé de moi et il s’était contenté de me sourire de loin. J’ai été surprise, il revint souvent ainsi. Petit à petit il réussit à me décrocher un sourire, sa présence durant la matinée me plaisait et bien que l’ignorant, faisant mes occupations, je compris au fur et à mesure que cet homme me plaisait, me troublait et me donnait envie de lui parler.
J’avais trente cinq ans et n’avais jamais véritablement eut le désir d’approcher un homme comme il m’en donnait envie, ce genre de chose, je les connaissais, ma grand-mère m’avait expliqué mais cela ne m’était jamais arrivé. Je ne peux pas dire que j’étais blanche comme neige, il y avait eu des choses mais jamais avec autant d’attirance.
Alors un jour, un matin, je lui portais de l’eau. Je ne savais pas comment l’approcher, je lui ai souris, je suis restée silencieuse, c’est lui qui m’a demandé mon prénom, mais je n’ai rien répondu, je l’ai invité chez moi, j’ai partagé un repas et ainsi de suite nous nous sommes vus. Un jour j’ai parlé, un jour il m’a fait rire, un autre j’ai appris un peu plus sur lui et petit à petit encore, nous nous sommes apprivoisé l’un l’autre. Zenon de Lascelle, chevalier, athée, qui ne croit en rien sauf en lui c’est adouci. Et moi, la sorcière sauvage, je me suis laissé approcher, il a demandé la permission d’un baiser que je n’ai pas refusé. Je l’ai aimé, comme il m’a aimé, il voulait tout m’offrir, mais je ne voulais pas. J’ai du lui apprendre et cela me plaisait. J’aimais Zenon, j’étais heureuse et je compris mon père, je compris pourquoi il s’était laissé mourir, je l’ai compris quand j’ai été enceinte.

J’aurais aimé pouvoir lui annoncer, vraiment. En quelques mois j’avais rencontré un homme, j’en étais tombé amoureuse et pourtant, je n’ais pas eu le temps de vieillir avec lui. Vous vous souvenez, je vous avais dis qu’à mes seize ans, les hommes voyaient toujours la femme en devenir. L’un d’eux n’avait jamais cessé de la voir et par jalousie, malheureusement, il a franchit une frontière. Celle du désir d’anéantir. Il est allé à l’inquisition, il m’a dénoncé, et j’ai été brûlé, sans procès. Les villageois ne luttèrent pas pour me sauver, Zenon n’était pas là et l’on m’a mise sur le bûcher.
Trente cinq ans, un enfant qui ne naîtrait jamais, un amour que je ne pourrais jamais consoler…

Alors que les flammes s’approchaient, léchant déchant le bois avec férocité, il me sembla voir le temps s’arrêter. Et m’apparut un ange aux cheveux noirs qui me sourit, amusée, frôlant le bout de son nez avec le mien et me rassurant d’une caresse sur ma joue. Thali…Grande tricheuse pour les autres m’avait expliqué. L’ange du destin avait eu une vision et dans cette vision j’étais celle qui devait prendre sa place. J’étais celle qui devait arriver un jour à Londres, c’était ainsi.
J’ai demandé des explications, si j’avais le choix, Thali m’a alors embrassé pour me montrer, la fin de chaque chose, le destin, l’apocalypse…et subitement j’avais tout compris, rien n’avait de secret et j’avais accepté. L’ange a alors glissé son âme dans ce corps mortel et moi je suis apparue aux côtés de Thali, inchangée mais ailée.

Au ciel, j’ai observé Zenon, sans pouvoir me détacher de lui, pleurant inlassablement de le voir sombrer. Mais je ne devais pas retourner sur terre, Thali me l’interdisait. C’était trop tôt, elle le savait, elle savait que je ne pourrais pas le supporter, que je voudrais à tout prix le retrouver, lui expliquer. L’enfant, la mort du corps et de ce qu’il portait, toutes ses choses que je ne comprenais et que je voulais lui dire. Mais en devenant un ange, je m’étais un instant perdue, cela arrive souvent aux humains. Thali le savait, quand je l’ai réalisé, j’ai compris qu’elle m’avait protégée.
J’avais été choisi par le destin lui-même pour être son ange, parce que j’étais morte en martyre, parce que j’étais fille de la nature parce que j’étais moi. Je ne pouvais pas faire passer mon envie de le sauver avant le rôle que j’avais compris. C’est dur de se dire cela mais c’était vrai et je l’ai compris quand je l’ai vu devenir un damné. Mon amour, mon zenon, je suis devenue ton ange gardien, de loin, très loin et parce que je l’avais décidé.

Le pire c’est que lorsque je suis revenue sur terre, il était toujours en enfers. Quand il s’est échappé, riez mais le pacte avait été signé et, comment dire, je n’avais pas le droit de revenir. J’aurais aimé qu’on me laisse aller le résonner, je suppliais Thali qui ne pouvait pas rompre le pacte, et lorsqu’il fut capturé, j’ai pleuré de soulagement. Il ne croyait en rien, pourquoi le contraindre à tout cela, pourquoi avait-il oublié notre passé pour devenir cette bête enragée. Je m’en veux, si j’étais revenue le voir à temps j’aurais pu le sauver. Mais aujourd’hui Thali veut bien m’aider à tricher.
C’est lui qu’elle choisira pour la boite de pandore, il est neutre, il ne croit qu’en lui, je le sais je l’ai vu. Il sera parfait pour ce rôle. Je crois que je pourrais le sauver, indirectement, cette fois ci, grâce à cela. Le libérer du diable et de ses enfers.

Cela fait un an que je l’observe, je l’ai vu s’échapper, j’ai vu Amélia, j’ai vu son pacte et maintenant que je dois revenir, je tremble un peu. Je dois me mêler de la partie, je veux le revoir, parce que mon chemin est lié à lui. Je ne sais pas ce qui va se passer, je ne sais vraiment pas. Il a Amélia, il a sa vie, il va devoir faire un choix et moi je serais là pour le soutenir, tout simplement. C’est ce que j’espère en tous cas, je veux simplement le sauver, au moins une fois

4 - Et vous?
Prénom: ///
Avatar: patricia Kaas
Où as-tu trouvé le forum? :....
Âge: 26 ans
Possibilité de reprendre le perso en pv? :Oui
Les MDP ont été envoyé à? :Oui


Dernière édition par Shylah le Mer 26 Sep - 0:08, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Shylah Shylah  EmptyLun 25 Avr - 9:54

Il y a des surprises dans cette après vie auxquelles je ne m'attends assurément pas...

Tout est parfait, le perso compris comme je me l'imaginais. Que dire, à part que tu es bien évidement VALIDEE. ;)

Bienvenue parmi nous Shylah. ^^
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Shylah
Nécroman

Shylah


Messages : 479
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Shylah  Pk110


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MessageSujet: Re: Shylah Shylah  EmptyLun 25 Avr - 9:55

*lui sourit* merci zenon.
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Invité
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MessageSujet: Re: Shylah Shylah  EmptyLun 25 Avr - 10:27

*Approche droite et silencieuse. Elle la regarde. Elle lui adresse l'un des rares sourire sans jeu ni supériorité. Dans ses yeux brille un peu de reconnaissance.* Veillez bien sur lui. Nous en avons besoin.

Bon jeu !!
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Dante
L’amour commence là ou commence l’éternité.
Dante


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Métiers: : ouvert, je le crains fort.
Disponibilité Rp: : 6000 ans

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MessageSujet: Re: Shylah Shylah  EmptyMar 26 Avr - 3:04

*Arrive en trombe* Shylah! *la prends dans ses bras un court instant* ça me fait plaisir de te voir.

Bienvenue Very Happy
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