Deborah Hawkins

1 - Mise en bouche
Identité
Nom: Hawkins
Prénoms : Deborah
Âge:32 ans
Sexualité: Bisexuelle
Métier: Directrice d’une société d’antiquaire

2- Le personnaget
Caractère : Je ne suis pas tel qu’on peut m’imaginer au premier abord. Je ne suis pas une salope, même si j’en ai l’apparence. Je ne suis pas une frigide non plus. Je suis fidèle à mon mari qui est mort et à ma maîtresse désormais. Ma conscience est l’élément principal de ma vie et je sais que ce que je fais, je le fais en mon âme est conscience. Je ne regrette jamais mes choix car ils sont mûrement réfléchis.
Que l’on m’objecte sans arrêt son choix de vie, prétextant que c’est moi qui ait tord ne vous apportera rien de plus. Si c’est ce que vous pensez et bien soit. Je ne vais pas m’embêter à vous soutenir le contraire pendant cent ans. Pensez ce que vous voulez.

Dans mon travail, je tiens tout d’une main maîtresse, mon mari me l’a ainsi apprit. Je commande, ils obéissent. Il y a eu un petit mouvement chez un ancien collaborateur, de volonté à être le tenant du titre, je l’ai viré. Et voilà. Je ne suis pas une idiote, contrairement à ce que vous pourrez vous faire penser ma paire de sein.

Physique : Belle femme, plantureuse, charmante. Je suis une belle plante. Voilà. Il suffit de regarder pour le savoir. Je mesure dans les 1m80, si on rajoute mes talons, ce sera un peu plus. Tailleurs sont maîtres mots de ma garde-robe. Je possède un tatouage dans le bas du dos et ma couleur de cheveu est artificielle, j’aime bien changer. Mes yeux sont verts aux teintes marron.
Que vous dires d’autre ? Une grosse paire de sein ? De longue jambe ? Des cheveux longs ? Une bouche pulpeuse.
Oh vous n’aurez qu’à mater.

3 - Biographie :
J’ai été marié il y a trois ans, à feu mon défunt mari, Douglas Hawkins. L’ai-je aimé ? Là n’est pas la question. Il avait 82 ans et il était adorable. Quand il m’a connu, je n’étais rien. Aujourd’hui grâce à lui, je suis propriétaire d’une chaîne d’antiquaire de renom et je n’ai plus de souci à me faire pour mon avenir.

Je vins au monde dans un squat des vieilles rues de Londres. Ma mère n’avait que seize ans, mon père dix-neuf, ils se shootaient à l’héroïne, avaient deux chiens et pour seul moyen de survivre l’espoir, la mendicité et le vol.
J’étais une erreur découverte trop tard. Ma mère était une fugueuse. Mon père un pauvre type rencontré sur sa route. Ils m’abandonnèrent, pour Dieu sait quelle raison, sur les marches de l’orphelinat Saint Sulpice.
On avertit la police, les hôpitaux, on s’occupa de moi. Je n’avais que quelques heures et je hurlais, enveloppée dans une vieille couverture à l’odeur de pisse de chien. On dut me mettre en couveuse et les sœurs guidées par leur foi se relayèrent pour veiller sur moi. Je resterais dans leur orphelinat si je restais en vie. Et je restais en vie.

Personne ne voulus jamais de moi.
Les parents se succédèrent, enfin, les gens voulant adopter. Mais qui voulait d’une petite fille née héroïnomanes. Personnes. Je fus donc la petite mascotte qu’on n’adopta jamais. Les sœurs m’enseignèrent la religion, elles étaient gentilles et je les aimais beaucoup. Je restais avec elle jusqu’à mes dix-huit ans.
Puis, je m’installais dans un studio minuscule, je prenais un petit boulot et je commençais ma vie. Ce n’était pas difficile, je me satisfaisais de peu. Et puis je l’ai rencontré. Il était gentil, il chercha à me séduire, il était vieux déjà, mais il ne ressemblait pas aux garçons que je côtoyais. Il était protecteur et je crois que c’est ça dont j’ai toujours eu besoin. Que j’ai toujours cherché, un protecteur. Will Hawkins était beau, mur, intelligent, drôle et il se débrouillait très bien au lit, si c’est cela la première question qui vous vient à l’esprit. Veuf, sans enfant, je crois qu’il était seul et moi aussi. On était pour se rencontrer. Ce ne fut pas l’amour avec un grand A mais on se ne l’ait jamais caché et je crois que notre histoire va au-delà de votre petite compréhension de bas étage.

Nous étions seuls, nous n’avions personne, on se tenait compagnie. On s’aimait à notre façon. Quand il a eu son cancer, j’ai été là. J’ai pleuré, je l’ai soutenus, j’ai même été enceinte de lui avant que ça n’arrive, mais le bébé n’est pas resté. Je l’ai accompagné jusqu’à la fin, il y a trois ans. Et alors que je me tenais devant sa tombe, priant Dieu et ses anges, je l’ai rencontré Elle.

Au début, j’ai été réticente, mais Elle s’occupe si bien de moi. Elle vient toujours, elle ne me laisse jamais seule. Elle est ma maîtresse dans le sens le plus primaire du terme et cela fait deux ans que cela dure. Je ne sais pas qui elle est, je ne connais que son nom, mais quand elle est là, je lui obéis et je suis sienne, son esclave, sa docile petite esclave. C’est notre intimité.
En parallèle je suis l’une des femmes d’affaire de Londres la plus désirée. Vous savez, ils font souvent ce planning bizarre des 50 plus grosses fortunes. Et la mienne arrive dans les vingt premières. Mon époux m’a légué un réseau d’antiquaire que je sais fort bien faire fructifier. Etrangement, je ne commets rien d’illégale pour enrichir ma fortune, je prie la chance. Et j’aime ça.

Je ne sais pas si je suis quelqu’un de bien, je crois que je suis simplement moi tout simplement. Si je crois au Diable ? Bien sûr. Parce que je crois aussi en Dieu.
J’œuvre pour des œuvres caritatives aussi, les sœurs de Saint Sulpice me voient souvent aller vers elle, et je leur fournis de gros fonds d’investissement. Je m’occupe d’une association aussi pour aider les jeunes fugueurs. Des fois, je pense à ma mère et je me dis que si on s’était occupée d’elle, peut être que j’aurais eu une famille…

Ainsi je suis antiquaire, tout ce qui est ancien et de valeur est géré par mes soins. J’aie un master d’histoire de l’art que j’ai passé grâce au soutien de mon époux, je sais donc toujours de quoi je parle. Ma société a des ramifications assez importantes dans tout le pays et une filiale s’est ouverte il y a peu aux états unis et en France. Je m’occupe de certaines demeures historiques aussi que je rachète pour une bouchée de pain et que je revends après une fort belle restauration. Cela plait énormément aux riches ce genre de chose. Le vintage.

4 - Et vous?
Prénom: Deb’
Avatar: Jenna Presley
Où as-tu trouvé le forum? : Ma maîtresse
Âge: 26
Possibilité de reprendre le perso en pv? : Oui
Les MDP ont été envoyé à? :Oui

Une mademoiselle toute mimi, chouette....

Il existe donc encore des humains bons? Qui...qui....*se retient de vomir* oh Dieu....va donc vile mortelle et amuse toi en enfer! heu...à Londres. Une bien jolie fiche.

N'oublie pas de signer le règlement et d'aller faire ta fiche d'évolution!

Wilkommen ! Si y a quelqu'un de bien, je me dois de le connaitre, viens par là ma petite xDDDD

Bienvenue ma chérie, ma douce et obéissante esclave

ah oui je me disais aussi... bienvenue humaine

Je suis bien navrée de vous répugner monsieur...monsieur comment d'ailleurs?
Ma ...petite? Voulez vous avoir le même cri de Michael Jackson dans le futur? Si non, ne m'appelez plus ma petite
Oh....Appolonia vous ici *rougit et va se cacher contre elle*
Vous vous disiez quoi Monsieur...Monsieur comment?

Citation :: Ma ...petite? Voulez vous avoir le même cri de Michael Jackson dans le futur? Si non, ne m'appelez plus ma petite

J'appelle les roturiers et les gens du commun comme il me plait !

Grand bien vous fasses monsieur. Cela devrait me préoccuper en quoi que ce soit?

Si je veux vous appeler ma petite, je vous appelle ma petite ! C'est tout xD

Et de toute vu la dignité qu'il vous reste, moi je crois que de toute, vous êtes plus à ça prêt, après tout, le toutou d'une démone...

Attention mon grand, ma vie privée est privée justement. Alors, on ne joue pas avec ce qu'on ignore. Tu seras mignon d'aller faire joujou au macho un peu plus loin hein?

ta vie privée révèle ta vraie nature, je suis sur que tu aboies merveilleusement bien !

Ma vie privée t'es inconnue. Le débat est donc clos.

Invité

Quelqu'un qui s'y connaît en histoire ! Allez y racontes nous des histoires Deby !! Suspect

Bienvenue à London !

Invité

Bienvenue. ;)

Ne jamais faire attention à Gareth... Tout le monde sait que ce n'est qu'un rustre !
Bienvenue parmi nous