Hell's Bells
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Hell's Bells

FORUM PLUS DE 18 ANS
 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -50%
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
Voir le deal
69.99 €

Partagez|

A l'heure de la déraison... [Zenon] (attention sujet +18 ans)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Aller à la page : Précédent  1, 2, 3
AuteurMessage
Invité
Invité



A l'heure de la déraison... [Zenon] (attention sujet +18 ans) - Page 3 Empty
MessageSujet: Re: A l'heure de la déraison... [Zenon] (attention sujet +18 ans) A l'heure de la déraison... [Zenon] (attention sujet +18 ans) - Page 3 EmptySam 9 Jan - 1:17

Il la connaissait peut être. Plus que nécessaire. Plus qu’elle ne le voulait. Car cette connaissance lui donnait un certain pouvoir. Une âme survivait car elle vivait comme les fantômes. Sans véritable existante concrète auprès des autres. Des morceaux de passage. La vision évaporée avant que l’on veuille s’en souvenir. En effet… mariée. Cette responsabilité n’avait pas été de sa volonté. Jeune. Amélia n’avait jamais voulu cela. Seul l’amour maternel l’avait rendu raisonnable. La famille avait été bien trop affaiblie. La dernière fille se devait de préserver les liens. Dans les années trente, une fille ne reste pas seule. Eut-elle voulu rester libertine elle n’en aurait pas eu le droit. Ses deux aînées avaient déjà eu le ventre plein alors qu’elle courait les salons. Il n’y avait que deux voies dans son monde. La couche maritale, ou celle de la chrétienté. Pas de dote pour la dernière née. Si ce n’est son tempérament et sa culture. Deux atouts qui avaient intrigués quelques jeunes gens. Amélia aurait certainement put exiger mieux. Un commerçant. Mais Gorges avait été le plus simple. Le plus maniable. Alors si le mariage n’avait pas été heureux. Il avait été le plus acceptable. Dieu n’aurait jamais approuvé ses désirs de libertés. Powell les avaient ménagé. Un tant soit peu. A vingt ans le choix est plutôt simple. Avec une touche d’humour la damnée accepta. Un compliment. –« Merci. » Le froid s’installa en une seconde dans son non. Il ne voulait décidément pas aborder le sujet. Une peine de cœur ? Lui. Le don juan. Intéressant. Elle y reviendrait. Pas tout de suite. Ils avaient déjà bien trop subi de leurs enquêtes respectives. Le semblant de paix ne tiendrait pas. Amélia était patiente. Tout amant lui livrait tôt ou tard des secrets. Il ne dérogerait pas. En quelques heures elle en avait apprit. Voilà qu’ils enchainaient sur un autre sujet. Tendu. Elle le regarda se détourner. Lui aussi avait perdu un frère. Non pas de vieillesse. Il lui avait été arraché à la vie. Pas de doute. Un point commun. Un pique partout. Il était le même. Un miroir étrange. Les mêmes sujets. Toujours. Le lord l’avait laissée dans son tranchant. Il n’avait rien répliqué. Ce qu’elle apprécia en silence. L’âme ne bougea plus. qu’il n’y ait aucune raison de relancer la vapeur. Il fallait qu’ils s’épargnent un peu. Ne serait ce que par politesse. Pour de futurs plaisirs. Par respect. Zenon suivit la déviation. La main puissante l’ancra sur le lit. Le tissu faisait ce son délicat. Elle aimait les musiques assourdies. Celle que l’on entend à peine sans avoir à les oublier. Elle aima le retrouver ainsi. Non : elle n’avait pas tord. La peinture était le portrait de la vie. La damnée aimait errer dans les galeries. Celles-ci lui avaient procuré de fameux moments de rêveries. Londres et Paris avaient été les plus efficaces. C’était un amour du beau. Un amour qu’elle avait put partager en mortelle isolée. Un amour qu’elle avait délaissé en tant qu’Ame. Car ses heures étaient plus employées. Il n’y avait pas dans un tableau la vie d’une scène de théâtre. Son amant voulait voir le cinéma. Il était curieux. Qu’elle l’emmène. Déterminé à la revoir. Dans la société contemporaine ce genre d’activité équivalait à un rendez-vous. Clark n’avait jamais accordé autant de crédit à ces salles publiques et nocturnes. Pourquoi pas. Un aristocrate digne de ce nom devait connaître. Il y avait dans le réac un charme qui s’effaçait rapidement. C’était la société de l’actualité. Survivre socialement. Il fallait savoir. Le bagage culturel ne suffisait plus. Aujourd’hui. Un fait qui l’avait toujours contrariée. Voulait-il donc qu’elle lui serve de bouée de sauvetage ? Bien sûr il y avait de l’humour dans sa voix. Une boutade. Signifiant que la dame pourra lui livrer ses regards sur l’art. Une demande risquée. Il avait bien vu. En quelques minutes Amélia ne pouvait s’empêcher de mordre la réussite. Le théâtre était le genre pour lequel elle avait… de l’affection. Le reste. –« Je vous accompagnerais que vous voyez. » Ses mains se posèrent prés des siennes sur ses jambes. Un air songeur au visage. –« Pour ce qui est du résumé je ne serai pas la mieux placée. Je n’aime pas le style de mon enfance. Stephan serait plus efficace. » Elle plissa distraitement la jupe déjà parfaite. Le maintient. La tenue. –« Laissez moi votre adresse je vous enverrez un mot. A moins que vous vous soyez déjà fait au téléphone. Un outil pratique. » Il n’y avait aucune ironie dans la remarque. Une neutralité dont elle était experte. Ses perles bleues s’attardaient sur lui. Ses doigts fins s’attardèrent sur son poignet. Sans même le contrôler son don se dévoila. Chaque pulsation raisonnait à son oreille attentive. Elle avait écouté bien des rythmes cette nuit. Celui-ci était son préféré. –« Je ferai en sorte de ne pas vous trouver sans rendez-vous. » Aimable façon de dire que la trêve était belle et bien installée. De rendre toute cette affaire plus raisonnable. D'établir un code sans risque. De créer un accord entre leurs attentions et ses réticences. Dans un sursaut d’énergie la damnée se leva. Au souvenir de la soirée une nouvelle idée. Vive la femme s’installa face au secrétaire. Elle attrapa une feuille au grain agréable la plaça sur le bois encore nu. Puis un stylo plume. De ceux de qualité au trait fluide et esthétique. Elle écrivit… « Mademoiselle Frederick Naomi,… » En quelques phrases d’une syntaxe vive et polie Amélia nuança son attitude de la veille. Il fallait en effet qu’elle soit moins directe. Cette artiste était aussi un ticket d’entrée pour le cercle londonien. « Ma verve n’était nullement là pour vous blessée, mais pour susciter un débat que vous n’avez put saisir. En espérant que cette première rencontre ne vous est pas fermée pour la prochaine. » Elle le relu une fois. Satisfaite. Signa de son prénom. –« Vous aurez probablement l’occasion de faire parvenir ce mot à la consœur de votre ami. » Un pli délicat, une enveloppe simple, le nom de la destinataire. Tout exécuté avec une maîtrise exercée. La lettre. Le plus fabuleux moyen d’entretenir les relations. Le meilleur outil pour cultiver les passions des autres. Elle avait été à bonne école. Le tout glissé dans la poche interne de son manteau. Elle n’attendait pas son accord.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



A l'heure de la déraison... [Zenon] (attention sujet +18 ans) - Page 3 Empty
MessageSujet: Re: A l'heure de la déraison... [Zenon] (attention sujet +18 ans) A l'heure de la déraison... [Zenon] (attention sujet +18 ans) - Page 3 EmptySam 9 Jan - 9:43

Il fallait bien avouer que toute cette conversation aurait pu finalement tourner au désastre, les deux âmes en présence sachant pertinemment quelles étaient les sujets sensibles qui pouvaient mettre hors de lui l'un ou l'autre des partis en présence. Mais ils n'étaient pas assez stupide pour en arriver jusque là et la manœuvre de changement de sujet avait été la meilleure. Zenon restait simplement là, à observer la jeune femme, tandis que sa main caressait légèrement ses jambes, la simplicité de cette relation était ce qu'il préférait.

Amélia accepta alors sa demande en ce qui concernait ce fameux cinéma, parfait, rien de plus agréable qu'un guide qui s'y connaissait un minimum pour apprécier la chose au mieux! Et si à cette époque, tout cela aurait l'air d'un rendez-vous, il était évident que pour le lord, ce n'était qu'un moyen de découvrir un peu plus cette époque. Au final, ils avaient couchés ensemble au premier soir, alors bon... on pouvait dire que quelque part, ils étaient en couple, non? D'amants, d'accord, mais qu'importe... ce n'était franchement pas cela qui lui importait, il n'appartenait à personne et personne ne lui appartenait, mis à part ses proies, voilà sa façon de penser. Et Clark était bien loin d'en être une.


- Vous m'en voyez ravi! Et il était sincère, cette acception lui prouvait donc qu'il avait une alliée. Un grand sourire se fit sous la barbe, alors comme ça, elle n'aimait pas la peinture de son époque? Pourquoi ça ne l'étonnait presque pas... il avait compris qu'elle était du genre à critiquer sans aucune retenue. Alors je lui demanderais, bien que votre avis critique peu m'intéresser. Comme vous, j'aime les débats. Avec un sourire des plus complices, elle devait le savoir, il aimait pourtant le dire.

- Le téléphone... oui... je dois en avoir un. Il n'avait pas encore totalement maîtrisé la bestiole, enfin, si, celui à fil, ça allait, mais le portable... mieux valait ne pas lui en parler. Je dois avoir le numéro quelque part. Le damné avait bien compris que c'était une chose dont il devait absolument savoir se servir était cet engin... il se souvenait encore des gros yeux qu'on lui avait fait le jour où il expliqua qu'il n'en avait pas chez lui. Dur pour un homme de son époque d'utiliser des choses pareilles, mais il avait presque prit le coup. Je vous laisserais mon adresse.

Oui, au final, notre ami préférait la vieille méthode, plus sûre. Le contact sur son poignet fut léger, agréable, il se laissa faire, docilement. Avant qu'elle ne quitte leur lit, pour se rendre au bureau. Il avait comprit son sous-entendu, mais ne dit rien, un simple hochement de tête pour dire que tout était entendu entre eux. L'homme s'installa donc à nouveau à son aise, tout en la laissant faire. Ne se lassant pas de cette vue, une femme nue assise sur une chaise de dos, avait de quoi faire travailler l'imagination de n'importe quel homme.

A qui écrivait-elle maintenant? Devait-il se sentir vexé de la faire penser à un autre que lui? Ou une autre... la réponse vint bien rapidement, puisqu'elle se redressa rapidement pour aller glisser l'enveloppe dans la poche de son manteau, le surprenant de ce fait, mais Dieu qu'il adorait ça.


- Je vois que vous ne me laissez pas grand choix de refuser. Est-ce un mot d'excuse? Dois-je lui transmettre quelques paroles en plus? Puisque je suis devenu votre messager.

Mais l'âme avait raison, il reverrait bien vite cette troupe de théâtre, assurément plus vite qu'elle et Big Ben se fit entendre au loin. Midi, il était donc temps, de prendre congé. D'un bon, le comte était debout, dans son plus simple appareil, face à son amante, il s'approcha d'elle, tout en attrapant ses vêtements, pour s'habiller.

- Je crois qu'il est temps pour moi, de vous quitter. Pointant du doigt la fenêtre d'où venait les bruits. Midi. Un vrai gentleman, il ne tenterait pas de s'imposer plus. Son pantalon fut remis en moins de deux, sa chemise glissa sur ses épaules, ses doigts fermèrent les boutons avec une précision toute suisse, avant d'accrocher à nouveau son nœud papillon et d'attraper son manteau d'une main. L’autre glissa dans la poche de son veston et en sortit une carte de visite qu’il lui tendit, alors qu'il était à sa hauteur.

- J'attends donc... votre invitation, Milady. Tout en approchant lentement de son visage, lui capturant les lèvres pour un baiser d'adieu, ses doigts glissant sous son menton. J'espère que vous ne me ferais pas attendre trop longtemps. Sa main attrapa la sienne, pour y déposer un dernier baiser. Merveilleuse nuit, merci.

De Lascelle fila ensuite sans plus attendre, lui faisant encore un petit salut de la tête, avant de disparaître pour de bon. Descendant les escaliers, il croisa le voisin mécontent sur son palier, un sourire en coin en le croisant, son regard voulait bien dire qu'il n'avait pas oublié et que définitivement, ce pauvre homme avait fait une erreur en refusant leur proposition.

Arrivé dans la rue, le comte remonta le col de son manteau, qu'il avait passé en descendant les escaliers, et prit une grande inspiration, lui permit de profiter de l'air glacial ambiant, alors que le soleil faisait son apparition, une belle journée en perspective! Cigare entre ses lèvres, les mains dans les poches, il disparut dans les rues Londoniennes.


Arrow Nouveau contrat


Dernière édition par Zenon De Lascelle le Ven 1 Avr - 20:50, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



A l'heure de la déraison... [Zenon] (attention sujet +18 ans) - Page 3 Empty
MessageSujet: Re: A l'heure de la déraison... [Zenon] (attention sujet +18 ans) A l'heure de la déraison... [Zenon] (attention sujet +18 ans) - Page 3 EmptySam 16 Jan - 8:47

L’enthousiasme de Zenon la fit sourire. Un peu moqueuse. Il ne savait peut être pas tout à fait ce qu’il venait d’accepter. Où il allait en étant aussi ravi. Amélia comme guide culturelle. Il allait faire face à l’exigence. Elle pouvait présenter. Expliquer. Cependant, elle réclamera autant de lui qu’elle l’aurait attendu d’un élève. Encore heureux la voie de l’éducation qui avait échappée à cette rigueur féminine. Les jeunes stagiaires avaient soufferts. La dame hocha la tête. La suite amena un ricanement. –« Vous aimez le débat. J’aime la friction. Mes opinions sont parfois oubliées pour provoquer la révolte de l’autre. Il n’y a rien de plus galvanisant qu’un esprit qui lutte pour son idée. » Alors elle pouvait mentir. Unique but d’entrainer une réaction. Décidément ce comte était de la veille enseigne. Il faudrait qu’il apprenne tout cela. Sinon la société le dévorera. Amélia ne fit aucun commentaire. Si elle pouvait être une alliée jamais elle ne serait la mère. Il aurait à se prendre en main. Il avait l’âge d’être au moins son arrière, arrière, arrière, arrière… il avait de l’expérience après tout. Il devait donc comprendre que leur aventure avait besoin d’un cadre. Jamais la damnée ne laisserait une nuit ruiner cent ans de lutte. Il pouvait s’attacher à la beauté de sa chaire autant qu’il le voulait. Elle avait maintenant la tête bien froide. Ce confrère avait fait une certaine prouesse. Il fallait le reconnaître. Le glas d’une nouvelle étape ? Clark n’en savait encore rien. Le mieux était d’agir comme elle le faisait toujours. Pragmatisme. La raison avait son carquois. La damnée planta son regard dans le siens. Il n’y avait plus trace de doute dans ce regard. Le signe d’une conquête. Shakespeare lui avait bien fait promettre de se laisser aller au plaisir. Peut être avait elle été trop zélée. Comme elle l’avait été dans toutes ses missions, mortelles ou non. La recherche de précision de son interlocuteur la fit sourire. Pensait il vraiment… -« Lord, je ne m’excuse que quand c’est indispensable lord. Rarement. Autre chose à dire ? Non. Ou bien un petit mot taquin. Non plus. –« Dites lui que j’organiserai un diner bientôt. » L’appel de l’horloge citadine. Elle le regarda se lever. Prompte. Efficace. Amélia l’imita. Bien. Au moins un accord de respecter. Reste à savoir si les suivants seraient semblables. S’il avait été moins rapide elle en aurait peut être profité. Mais non. Il y avait dans tout cela le goût du départ. Elle aimait cela aussi. Un départ appelait souvent un retour. –« En effet. » Elle-même ne prit pas la peine de se vêtir. A quoi bon. Elle était chez elle. Son domaine. Il revint face à elle. Un bout de carton. Il avait donc au moins retenu cela. « Comte Zenon Richard De Lascelle. » Ses yeux se levèrent vers l’homme. –« Vous êtes donc bien un cœur de lion. » C’était l’heure oui. Trêve de bavardages. Il y avait dans l’air cette fin. Amélia ne le retiendrai pas. Elle voyait déjà le programme se ses dernières heures de jour. Cependant… le baiser d’au revoir l’obligea au présent. Elle se laissa faire. Ses yeux brillaient d’une lueur rassurée. Il n’y avait pas que de la déraison dans tout cela. Sinon elle aurait déjà perdue le contrôle. Mais non. Son corps obéissait. La damnée ne répondit pas aux deux premières questions. Elle était une femme. Elle savait quoi faire. Donner des certitudes à l’autre était le plus sûr moyen de l’éloigner. Jouer avec les passions. Un art que beaucoup avait pratiqué. Si Amélia avait consentit à y jouer plus jeune, peut être n’aurait elle jamais perdu sa plus belle donne. Pourtant. Elle ne refaisait jamais deux fois la même erreur. Beaucoup aurait put le confirmer. Ce soir là s’était engagée une nouvelle partie. Clark en mesurait les enjeux. Son esprit put donc répondre en paix. –« Shahrazade en voudrait probablement le récit dans ce cas. » Le merci était dans tout son calme. Il ne l’entendra pas tout de suite. D’ailleurs il se retira sans l’exiger. Ce qui était plutôt lucide. La porte refermée. La carte posée sur le bureau. La locataire jeta un coup d’œil à son lit. Piteux état. Amante oui. Sentimentale non. Ses mains attrapèrent les draps. En quelques minutes on ne put y voir que du feu. Parfait. Pas un pli. Déjà les fenêtres étaient ouvertes. L’amour avait l’odeur entêtante. Pas la meilleure fragrance pour travailler, cela dit. Vendredi nous étions vendredi. De nouveau vêtue de son peignoir. Elle se servit un café noir. Bien. Cette nuit avait au moins eu le don de lui rappeler sa place. Elle était une inquisitrice. Elle était avant tout une maudite. Au lieu de penser comme une mortelle. Elle pensa comme une missionnaire. Sa vie privée avait eu bien assez de temps. Amélia était avant tout le reste une travailleuse. C’était ainsi qu’on lui avait apprit à vivre. L’âme attrapa son téléphone. Il fallait maintenant reprendre la trame des enfers. Le fils du diable n’avait pas que des amis. Il fallait en savoir un peu plus. Zenon irait vers l’héritier. Amélia n’était pas encore prête à renier Satan.

Fin
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé




A l'heure de la déraison... [Zenon] (attention sujet +18 ans) - Page 3 Empty
MessageSujet: Re: A l'heure de la déraison... [Zenon] (attention sujet +18 ans) A l'heure de la déraison... [Zenon] (attention sujet +18 ans) - Page 3 Empty

Revenir en haut Aller en bas

A l'heure de la déraison... [Zenon] (attention sujet +18 ans)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut

Sujets similaires

-
» Besoin d'alliés? [LUCIFER] (attention sujet +18 ans)» Zenon De Lascelle» Réminiscence et fleurs blanche [PV Zenon](Terminé)» Jack! Oh Jack (pv Zenon)
Page 3 sur 3Aller à la page : Précédent  1, 2, 3
Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Hell's Bells :: Avant de Jouer :: Règlement & Contexte :: Exemple de rp-