NOM : SHEPPERD

PRÉNOM: Terence (Terry pour les intimes)

AGE RÉEL : 42 ans

Sexualité : Hétérosexuel

MÉTIER : Détective Privé


RANG DÉSIRÉ : Putain de journée de merde !

CARACTÈRE: (5 lignes minimum) « Enfoiré », « Ordure », « Connard », voilà comment la gente féminine à l’habitude de m’appeler. Il est vrai que j’ai plutôt sale caractère en général et que je ne m’attache pas à ces dames comme elle le souhaiterait. Il vaut mieux m’avoir en ami qu’en ennemi ou fiancé au final. Bourru, fonceur, têtu, voilà comment me qualifie mon meilleur ami Francky. C’est bien le seul type à qui je fais confiance dans cette ville. Le reste du temps, je suis un grand solitaire qui aime vivre seul avec son chien. Quand je picole par contre, il m’arrive de m’énerver et de foutre mon poing dans la gueule au premier qui me tape un peu trop sur le système. Je suis pourtant pas un mauvais gars, faut juste savoir me comprendre…


PHYSIQUE: (5 lignes minimum)Beau, musclé, une chevelure dorée et un visage d’ange… Non je plaisante, ça c’est la description de David Beckam. D’ailleurs sa nana est quand même bien gaul… Pardon, je m’égare… Je suis peut être un peu l’inverse de ce sportif au fond. Je mesure environ 1,83 m, pour mon poids je ne sais pas trop, je n’ai pas l’habitude de me peser disons, mais j’ai quelques bourrelets dû sans doute à la bière que je bois pas mal depuis quelques temps. Mais cela reste assez discret sous mes vêtements. Il faudrait peut être que je me remette un peu au sport, mais bon… Je suis châtain foncé aux yeux verts, j’ai souvent les cheveux mal coiffés et je me néglige quelque peu, mais devant les clients j’essaye un minimum de faire bonne figure en donnant un coup de peigne et parfois même en revêtant un costume. On dit que j’ai du charme, et j’en use volontiers avec la gente féminine. Mes petites fossettes lorsque je leur souris les fait parfois craquer ! Que voulez-vous, derrière un vieux ours mal léché se cache parfois un homme avec du sex appeal !

HISTOIRE (15 lignes minimum):

Accoudé au bar du coin, je suis en compagnie de mon fidèle ami, Francky. Je ne sais plus combien de verre j’ai bu, j’ai juste la tête qui tourne un peu mais j’arrive encore à parler. On se remémore justement le bon vieux temps, nos débuts ensembles à Scotland Yard. J’étais jeune, un peu naïf peut être, mais je n’avais déjà pas ma langue dans la poche. Avec Franck, on formait une sacrée équipe. Bon d’accord, depuis l’eau à couler sous les ponts. J’ai été viré il y a quelques années, mes méthodes étant peu « orthodoxes » à leurs yeux. Quel bande d’enfoirés quand même ! Heureusement Francky vient toujours me filer un coup de main et est toujours resté fidèle, même si je conviens que je ne lui mène pas tous les jours la vie facile.

Après Scotland Yard, c’est devenu difficile de retrouver un job. C’est là que la poisse à commencer à s’abattre sur moi. J’étais avec une nana qui m’a lâchement largué en prenant au passage tout ce qu’elle pouvait, fric, bagnole, même les cadeaux qu’elle avait pu m’offrir. Une vraie garce. C’est vraiment la seule femme à qui je tenais le plus sur toutes mes conquêtes. Mais elle en voulait plus, la bougresse ! Elle commençait à me parler de mariage et de gosses, et puis avec la perte de mon job, j’ai pas pris des pincettes avec elle. Je lui ai dit franchement ce que je pensais de tout ça. Elle n’a pas apprécié et elle s’est barrée. Depuis, je n’ai plus trop de nouvelles, en même temps j’ai tiré un trait sur cette histoire et les filles qui partage mon lit ne restent pas bien longtemps. Parfois, se sont même des prostituées quand j’arrive à ma faire un peu d’argent facile.

Maintenant, je suis à mon compte en tant que détective privé. Faut pas croire que c’est un job tranquille. Quand j’étais gamin, je lisais pas mal les aventures de Sherlock Holmes en rêvant d’être à sa place. Quelle vie trépidante ! La dure réalité des choses c’est que les enquêtes que je mène n’ont strictement rien à avoir avec celles du grand Sherlock. Non, je me contente de la rubrique des chiens écrasés en quelque sorte. Entre affaires d’adultères et fugue de sales gamins, il n’y a rien de très intéressant. Mais bon, ça me paye mon loyer, mes cigarettes et les virées au bar. Et puis la bouffe de Sherlock, mon Schnauzer.

Mais depuis quelque temps, il y a comme un truc louche dans l’air. Déjà c’est bien la première fois que le smog est aussi épais et dure aussi longtemps. Et puis ces disparitions et suicides dont Francky me parle. Il est toujours à Scotland Yard et il me fait part parfois de ce qu’il y entend. Le pourcentage de suicidés n’a jamais été aussi énorme.

- Y’a un truc bizarre dans l’air, Francky… Je finissais cul sec mon dernier verre de scotch.

- C’est sans compter l’homme que l’on a retrouvé dans les ruelles de Camden, on aurait dit qu’il a eu une frousse énorme avant de crever. C’était un toxico en même temps, on ne peut pas vraiment se fier à ces gens là. Mais apparemment il y a eu d’autres types qui ont été découvert mort avec le même visage de peur.

- Elémentaire, mon cher Francky ! J’essayais de reprendre tant bien que mal une posture droite et je me mettais à rire bêtement à cause de l’alcool. Ils ont du croiser cette salope de Cassy ! Quelle garce !

Francky ne m’adressait qu’un petit sourire en coin. Lui aussi il avait connu mon ex copine. Il n’avait pas de super bons rapports avec elle mais il m’avait bien aider à l’oublier.

- J’crois bien qu’on va enquêter sur cette affaire mon pote. On va se faire du blé ! Fini les vieilles peaux qui viennent chialer parce que leurs maris vont fourrer leurs tiges ailleurs ! Je fus pris d’un hoquet et je regardais d’un air vaseux Franck. Tu vois le monde se divise en deux catégories, ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent…

Franck eu un petit rire.

- Oui oui Terry, moi aussi j’aime bien ce film. Mais compte pas sur moi pour creuser. Allez, je te ramène, tu as assez bu pour ce soir.

Franck m’attrapa par le bras qu’il mit autour de son cou en me faisant avancer vers la sortie.

- Ah mais attends ! J’ai pas fini mon histoire ! Qu’est-ce que j’disais déjà ? Francky bordel qu’est-ce que je disais ? Voilà tu m’as coupé je sais plus ce que je disais ! Attends tu vas trop vite là…

*Eloignement dans les ruelles de Brixton*



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Nom/surnom: Soixante neuf !

Avatar: Scott Bakula

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